Je fais ce que je veux. Quand je veux & Où je veux.
Ce matin, je m'étais échappée du territoire du Clan du Crépuscule. J'avais envie d'apprendre! De découvrir de nouvelles choses! J'avais échappée à la surveillance des plus vieux, qu'ils étaient bêtes! Et naïfs aussi! Depuis un moment, ils avaient très bien vu que je m'enfuyais régulièrement. Franchement, ils auraient pu être un peu plus attentifs ce matin... Enfin c'était pas mon problème! C'était tout de même grâce à leur inattention que j'avais réussi à m'enfuir. J'étais plutôt fière de moi sur ce coup là!
J'avais empreintée un chemin que je ne connaissais pas. Et il m'avait menné jusqu'ici, un endroit qui s'appellait le "Ponton". Comment je le sais? En faite, en arrivant, j'ai croisé plusieurs créatures à deux pattes qu'ont appelle les "Humains". Deux d'entre eux communiquaient, et l'un à dit à l'autre « Poses les caisses sur le Ponton ». J'en ai donc déduis que ce gros truc marron qui sert à moitier de pont était un... Ponton! Vous l'aurez devinez! Bref, je marchais, me faufillant entre les jambes des bipèdes, jusqu'à se que je tombe nez à nez avec... une sardine! Une grosse sardine! Elle était près du bord, sur le béton. Si on la poussait, elle retombait dans l'eau. J'étais plutôt intrigué par ce poisson. Un passant m'avait même dit qu'elle était à moi! Devais-je en juger que je pouvais en faire ce que je voulais? Oh et puis après tout, même si ce n'était pas le cas, ça serait comme ça!
Timidement, j'avançais ma patte avant droite vers le poisson soit disant mort. Lorsqu'il y eu contact entre mes petits coussinets roses et la peau visqueuse et poisseuse de la bestiole, la sardine se mit à sauter avec agilité et élan! Une puis deux... puis trois, et hop! Plus de poisson. Elle venait de retomber à l'eau. J'étais vachement déçu. Je m'asseyais donc au bord, observant l'eau de la mer, enroulant en même temps ma queue autours de mes pattes.
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Vague d’Espérance La rencontre d’une chatonne « Je suis toujours intrigué par les petites bêtes ! »
J’avais passé une soirée assez calme, je ne dormais que la journée et cela était rare que je me baladais l’après midi avec un soleil tapant. Je préférais le voir le matin doux et savoureux qui ne faisait pas tellement mal à mes yeux fragiles de la lumière du soleil. C’était l’aube déjà, j’avais passé la nuit à chasser pour mon clan et à faire quelques courses pour me dégourdir des pattes. J’essayai de rapprendre à vivre comme tous chats de clan et ne plus être un ancien sanguinaire mais un chat de clan tout banal, tout beau et tout modeste. Oui, je souris avec un air satisfait. Mes pattes me dirigeaient vers un endroit qui m’était familière, à la faible efflue de l’air salée, je conclue que mes pattes me guidaient vers un ponton. Un ponton qui la nuit était déserté par les bipèdes mais le jour était envahi par des poissons très délicieux et puis des tonnes de petites bêtes qu’il appelait crevette, crabe, coquille-Saint-Jacques qui avait de bon goût. Même qu’une fois j’avais eu le droit à du caviar, oui, il l’appelait comme ça mais en vrai c’était des ovules de poissons et des fois des cellules-œufs. Oui, j’en savais des choses, car les bipèdes étaient de vrai bavard et très généreux, il me donnait très souvent de la viande comme du bœuf, du porc, je ne sais pas à quoi ça ressemble mais c’était très appétissant. Il disait que ça venait des fois de France, d’Espagne, des Etats-Unis. Même si je ne savais pas qu’est-ce que c’était à la façon de parler ça devait être immense.
Je vus à quelques mètres de ce ponton, les bipèdes y étaient déjà nombreux, je me fis un chemin entre eux. Je sentis une odeur de chat, même une odeur du chat du clan du Crépuscule. Qu’est-ce qui foutait là, eux qui détestaient les bipèdes. Je me mis en direction de cette odeur avec grâce et avec un peu de charme dans chacun de mes mouvements. Quand je pus voir la femelle, ce n’était qu’une chatonne, je soupirai, j’aurais préféré une belle femelle. Je m’approchai et au moment de cela, la sardine retomba dans l’eau. Je vis mine d’être innocent même si je savais que c’était de ma faute. J’entendis mon ventre gargouillait, je me frottais contre un bipède qui me jeta une sardine bien dodu. Je m’approchai de la chatonne et lui dit :
« Tu veux la partager avec moi, surtout que c’est à cause de moi que ta sardine est retournée chez elle. Je me nomme Vague d’Espérance et toi petite princesse, qu’elle est votre nom ? »
Je lui vis un de mes plus beaux sourires que les petites femelles adoraient.
C'est alors que je me leurrais sur mon pauvre sort. Pour une fois que j'avais presque réussis à l'avoir! Remarque, c'était pas plus mal! Parce que si je m'étais jetée dessus, et qu'elle s'était mise à bondir comme elle venait de le faire, je me serrais surement retrouvé dans l'eau! Qu'elle horreur! Vous immaginez? C'est dans un petit soupire que je m'apprêtais à m'en aller. C'était pas si drôle ici, contrairement à ce que disait les autres chatons. En me retournant, je me cogna contre un autre félin, bien plus grand que moi! Je fis les gros yeux, comme à moitier appeurée et timide. Puis je dévisageais l'inconnu qui me proposait de partager sa sardine avec lui, car c'était de sa faute si la mienne s'était barrée. Mon petit coeur s'emballa avec violence lorsqu'il m'appella "Petite Princesse". Il s'appellait Vague d'Espérance, et merveilleux nom qui lui allait drôlement bien.
« Je m'appelle Patte de Charbon, Enchantée Vague d'Espérance. » disais-je en prenant un air gracieux, presque majestueux. J'observais alors la grosse sardine qu'avait le chat adulte.
« Vous l'avez pêchez vous même? » demandais-je en arcant un sourcil, et en lui souriant timidement. Timide? Moi? Oui, pour l'instant, mais ça ne saurait durer, puisqu'une fois les présentations faites, j'arrivais facilement à mettre quelqu'un mal à l'aise. Ca ne devait pas être trop dure non plus avec lui. Après tout, c'était un vulguère qhat, un chat banal, à ma connaissance...
Je me racla la gorge pour avoir une voix encore plus douce que la normale. J'étais prête à lui faire une tonne de compliments, pour qu'il s'intéresse vraiment à moi. Ma petite queue à nouveau enroulée gracieusement autours de mes pattes, j'ajoutais:
« Oh pardon, j'ai oublié de vous répondre. Ce serait avc grand plaisir de la partager avec vous, mais je ne voudrais pas vous priver de nourriture, ni vous retirer le pain de la bouche! » disais-je calmement, l'observant de mes yeux bleus clairs pétillants.
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Vague d’Espérance Elle drôle. « Je ne me rappelais plus que les chatonnes étaient aussi dragueuses avec leur aîné !»
tLa petite Princesse qui était fort jolie pour son âge se prenait déjà pour une femelle mâture et grande. Cela me faisait assez rire, mais comme ça me divertira avant que je me couche en espérant que cette rencontre ne dure pas éternellement car je commençais à sentir la fatigue. Je ne pus continuer, par la réponse de la belle. Elle parlait de façon gracieuse et cela était très joli :
« Je m'appelle Patte de Charbon, Enchantée Vague d'Espérance. »
Elle regardait avec de gros yeux la belle sardine que j’avais posée entre mes jambes. Je pus apercevoir qu’elle était vraiment fasciné par moi que la pauvre sardine car elle n’avait même pas répondu à la question. Soit, les chatonnes sont très naïves et tombent facilement amoureux. J’espère que ça ne sera pas le cas. Je veux bien que cette petite s’intéresse à moi mais si c’est pour qu’elle colle aux pattes, non merci. Elle continua :
« Vous l'avez pêchez vous même? »
J’émis un petit rire, oui, bien sûr comme si je savais pêcher la sardine qui se trouvait à dix kilomètres du bord. On pouvait voir qu’elle n’était pas très cultivée, cela se comprend à son âge. Je pus comme même entendre dans sa voix, un timbre timide mais toujours aussi jolie. A les minettes à cet âge, elles sont toutes petites et timides. Elle se racla la gorge comme une séductrice qui voulait que sa voix soit angélique. Sa petite queue s’enroula autour de ses pattes de façon très classe. Si j’aurais pu, j’aurais ri mais ri à m’en faire mal au ventre, mais je me retenais pour faire assez bien devant elle. Elle continua :
« Oh pardon, j'ai oublié de vous répondre. Ce serait avec grand plaisir de la partager avec vous, mais je ne voudrais pas vous priver de nourriture, ni vous retirer le pain de la bouche! »
Je souris, un sourire d’une beauté et qui fera plaisir à la jeune séductrice en herbe. Peut-être que je pourrais la formée, ça pourrait être marrant, je me cacherai derrière un arbre et j’observerai sa manière de draguer. Héhé, je riais intérieurement de ma bêtise qui en était bien une. Je me ressaisie un peu et d’une voix de velours répondit :
« Si je propre à la belle Princesse ma sardine c’est qu’elle peut en manger. Ne vous inquiétez pas pour ma faim, je pourrais toujours en demander d’autre aux bipèdes. »
Je mis la sardine devant son nez, j’en pris un bout et le dégusta avec délice. D’une voix toujours aussi belle, je dis :
« C’est délicieux ! Vous ne trouvez pas, Belle princesse ? »
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Sujet: Re: Ballade Matinale [Libre] Ven 9 Avr - 20:30
Si Tous Les Autres Etaient Comme Ca ...
Décidement, ce beau mâle me plaisait fort bien! Sa galanterie, sa façon de parler... Hmmm C'est esquis tout ça! Je lui souris avec sincèrité, mordant dans le poisson, doucement et avec délicatesse. Puis je dégusta lentement le bon goût de ce met. C'était... Suculant!
« C'est extraordinairement bon en effet! » répondais-je en levant mon regard vers le chat adulte. Ma petite queue touffue se balançait à présent de droite à gauche. Puis je me leva et m'étira d'une allure Royale. Après quelque minutes, où j'eu fini ma part, je demanda poliement:
« Accepteriez-vous de marcher afin de faire une petite balade et digérer ce festin? » interrogeais-je poliement. J'en avait peut être pas l'air, mais j'étais carrément dingue! J'avais l'impression d'être un bouilloir tellement que j'étais sur-exitée à l'idée de me promener aux côtés de Vague d'Espérance. En attendant la réponse du beau félin, je leva ma patte avant gauche, que j'amenna jusqu'à ma gueule, pour commencer à la nettoyer. Tout y passa: Coussinets, doigts, griffes, poils. Je me recoiffais dans le sens du poils afin d'être tout simplement parfaite au yeux de Vague.
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Sujet: Re: Ballade Matinale [Libre] Ven 9 Avr - 21:49
Vague d’Espérance Elles sont toutes pareilles ! « Qui dit femelle, qui dit âme à prendre. »
Je regardai toujours la jolie princesse que j’avais devant moi, elle était à croquer, elle faisait sa petite séductrice ce qu’il me faisait rire mais en même temps sourire. Si j’aurais voulu une sœur, ça aurait été elle ou même une fille. Elle était joyeuse, joueuse puis je pouvais sentir d’ici qu’elle n’avait pas peur, non, elle aimait être avec moi-même si cela faisait à peine cinq minutes. Mais j’avais peur de quelque chose. Quelque chose que je ne savais pas encore bien maîtriser ma soif, oui, je pouvais encore tuer car j’avais des fois envie de sang. Heureusement que ce n’était pas le cas, je m’aurais voulu à vie si j’avais fait du mal à cette jolie chatonne. Surtout qui s’appliquer à manger, enfin j’étais pareille à vrai dire. Elle se recula, comme pour dire qu’elle n’avait plus faim et d’une voix belle, elle me dit :
« C'est extraordinairement bon en effet! »
Je fis un beau sourire et je finis le reste de la sardine. Quand j’en eus terminé, je me mis à faire ma toilette, en léchant avec grâce mes pattes et en remettant bien mon beau pelage. Elle fit de même, elle me regardant de temps en temps. Oui, elle était mignonne, elle faisait tout pour que je sois avec elle, pour que je m’intéresse à elle. Mais je pouvais voir qu’elle était très naïve et ignorante de mon passé. Si un jour, elle le découvrait, elle partirait peut-être. Oui, je faisais fuir tout le monde avec mon passé, d’un côté c’était préférable pour eux, mais si je devais me retrouver seul, je pourrais devenir fou et redevenir un sanguinaire mais qui cette fois ne pourra pas s’arrêter, il ne fallait pas. Non, cela était mal, très mal pour moi et leur avenir. Je soupirai en restant discrète pour pas que la belle le voie. Cela ne la concernait pas ! Je m’arrêtai de penser, car la belle parlait :
« Accepteriez-vous de marcher afin de faire une petite balade et digérer ce festin? »
Je souris, je fis mine de réfléchir pour la faire patienter. Oui, c’était assez drôle, elle me regardait en train d’attendre la moindre réaction. Mais comme j’étais indescriptible, elle ne risquait pas de trouver. Je m’approchai encore plus d’elle et d’une voix angélique, je dis : « Pourquoi dirais-je non à vous, chère princesse ? Mais bien sûr, faisons une balade ensemble, cela me fera digérer mon estomac qui estomaquait par cette sardine. En chemin, princesse. »
Je la poussai un peu pour qu’elle me suive, je marchai de façon très élégant et nous promenâmes sur la plage au sable blanc. Ce sable qui était encore assez tiède m’apaisez, je sentais que le soleil commençait à monter dans le ciel. Bientôt, il faudra que je parte, sinon je risque d’avoir mal aux yeux pendant une semaine, ce qui ne m’arrangerait pas. Je m’approchai de la mer, pour que l’eau tiède vienne toucher mes coussinets. Je vis que l’eau se rapprochait et toucha mes coussinets. Je m’arrêtai, en contemplant le paysage.
« Vous ne trouvez pas que ce paysage est magnifique ? »
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Sujet: Re: Ballade Matinale [Libre]
Ballade Matinale [Libre]
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